La passion est au centre des métiers de la communication. C’est ce que les étudiants ont pu comprendre grâce à l’intervention de Nicolas Couvret et de Mathieu Sirot, ce mardi 22 novembre 2022, lors de leur intervention à propos du groupe Gulfstream auprès des élèves de 3e année de l’ISEG Nantes, école de communication de marketing et du digital.
Gulfstream Group : Concrètement, qu’est-ce que c’est ?
Une plateforme multi-expertises, proposant les meilleurs conseils à ses clients, voilà l’objectif du groupe Gulfstream. Il se décompose en trois sous-parties principales. Nous trouvons en premier Gulfstream Communication qui est en quelques sortes le socle de la publicité. Etant une des plus grosses agences indépendantes de France, c’est avec pas moins de 30 salariés qu’elle réussi à répondre à ses requêtes clients. D’autre part, il y a Digital Garden s’occupant de la partie digitale en comprenant le e-commerce, la refonte de site web, application métier intranet, les indicateurs clés de performance ou encore l’expérience utilisateur. Enfin, Touchpoint n’est pas négligeable. Elle se préoccupe de la partie média, data et performance des requêtes clients.
L’essence de Gulfstream incarné par ses employés
Pour en apprendre davantage sur l’essence même du groupe, incarné par ses employés, il est pertinent de s’intéresser à ses éléments.
Nicolas Couvret, directeur média et activation de Touchpoint et Mathieu Sirot, directeur de création chez Gulfstream Communication, en sont les exemples parfaits.
Le parcours de Nicolas Couvret
Alors que Nicolas Couvret a fait ses études en fac d’anglais, il n’a finalement travaillé qu’en agence. C’est en visitant une agence à Paris, qu’il s’y est pris de fascination. Il n’avait jamais vu autant de métiers différents être exercés au même endroit. C’est en passant par les domaines du digital, du média, et en travaillant en freelance, qu’il a acquis assez d’expériences et de savoir faire pour atteindre son poste actuel depuis maintenant 4 ans.
Le parcours de Mathieu Sirot
Quant à Mathieu Sirot, alors qu’il a fait une école de journalisme et de publicité, c’est en s’installant au Canada qu’il découvre le monde de la pub. Et ce, en travaillant dans une petite agence de Toronto. Avant cela, il avait commencé sa carrière, en écrivant des tags et des horoscopes pour la matinale de 6h à 9h de Fun Radio. Mais aussi, en créant des sonneries et des messages de répondeur chez Universal Musique. Et en participant à la communication globale de Synergie. Finalement, tous deux ont intégré Gulfstream Groupe en ayant été pris de passion par un métier auquel ils n’étaient pas forcément prédestinés.
Un état mental peut être déterminant au sein de la communication
Mais alors, qu’est-ce que la passion ? Selon le dictionnaire Le Robert, c’est un « état affectif et intellectuel assez puissant pour dominer la vie mentale. » Et oui, si les étudiants veulent travailler au sein d’un groupe tel que Gulfstream, c’est principalement dans cet état que les étudiants aimeraient être plongés vis-à-vis du secteur de la communication. Il faut un attrait naturel – ou bien travailler – pour la culture pub. Comme l’explique Nicolas : « sans la curiosité, il n’y a pas de publicité ». Ainsi, il est important de connaître ses classiques de la publicité. Et ce, tout comme un étudiant en cinéma connaîtrait les films cultes. Mais cela ne s’arrête pas là, il faut avoir une culture générale. L’objectif restant de conseiller au mieux les clients. Il faut savoir les conseiller objectivement. Par exemple, il est important de savoir quelles couleurs sont associées aux partis politiques. Ou bien si un présentateur télé ou une personnalité a promu une marque. D’autre part, la passion doit pousser au travail. Il faut s’accrocher, ne pas être flemmards, être acharnés de travail. Mais surtout, être plein de sérieux, d’audace et à la fois de méthode.
Merci à Nicolas Couvret et Mathieu Sirot pour leur intervention auprès de nos étudiants !
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